« Mais que dirai-je d’aucuns, vraiment mieux dignes d’être appelés traditeurs que traducteurs ? vu qu’ils trahissent ceux qu’ils entreprennent exposer, les frustrant de leur gloire… »
— Joachim du Bellay, Défense et illustration de la langue française, chapitre VI
Pierre Leyris souligne par contre que « Traduire, c’est avoir l’honnêteté de s’en tenir à une imperfection allusive »